Jean Berton
16 février 1945 – 14 février 2013
Sa famille
Ses parents Roger et CarmenSes sœurs Françoise, Linette, Colette et son frère Philippe
Son épouse Claudine Boudeville,
Ses enfants, Ludovic, Karen et Claire,
Ses petits-enfants Paul et Antoine,
A jamais tu resteras dans leur cœur,
Sa vie
Jean Berton né le 16/02/1945 à Saint-Dizier, enfant de la commune de Droyes (52), d’où ses aïeux étaient originaires, il y reposera éternellement. Les obsèques de Jean Berton ont eu lieu le mardi 19 février 2013 à l’église de Chateauvillain.Passionné de chasse à courre, il adorait particulièrement le son des trompes de chasse. Ses deux fidèles amis lui ont organisé la cérémonie exceptionnelle qu’il méritait, entouré de toute sa famille, de ses proches amis, de ses très nombreux collaborateurs, que nous remercions chaleureusement. L’Ave Maria que peu de sonneurs au monde savent jouer, résonnera toujours dans nos cœurs.

Sa passion, la chasse

« Ses talents de journalisme et d’écrivain, son amour des bonnes choses (il ne s’en cachait pas) faisait de lui une personnalité que l’on ne découvrait pas au premier contact : « un rustre au grand cœur ».
Jean Berton a appris le journalisme en tant que simple pigiste au journal « Nos chasses » auprès de son mentor Mr Marc Lambert, grand patron de presse de l’époque. Il a ensuite été nommé rédacteur en chef de ce même journal par Mr Francis Grenêche (en collaboration avec sa fidèle complice Monique Aubertot), avant que celui-ci ne soit emporté par la maladie. C’était la belle époque des Editions Chasse Sports à Paris !
Jean Berton a ensuite collaboré pour la société du Journal de la Haute-Marne en revenant à Chaumont, dans son département natal en tant que rédacteur et journaliste pour d’autres revues cynégétiques telles que « Plaisirs de la chasse » et « Cibles ».
Mais lorsque la société des Editions Chasse Sports, au bord du gouffre financier, a été racheté par Charles-Henri Bachelier, ils ont décidé ensemble de tenter le challenge pour sauver le journal « Nos chasses » d’une mort certaine. Jean Berton est donc retourné aux Editions Chasse Sports pour terminer sa carrière de journaliste et ils ont ensemble réussi leur pari de relancer le journal. En collaboration avec Charles-Henri Bachelier, ils ont eu ensuite d’autres projets et ont également repris le magazine « Sanglier Passion ». Il aura exercé son métier jusqu’à son dernier souffle, réalisant même les corrections d’un futur ouvrage à l'hôpital.
Livres, journaux, magazines, hors-séries, numéros spéciaux, journaux de fédérations départementales de chasseurs, les premières « cassettes vidéos » de chasse, en passant par le DVD et pour finir par les sites internet conçus par son fils, Jean Berton aura publié tout ce qui publiable !
Ecrivain et auteur de nombreux livres sur la chasse :
En parallèle de son métier de journaliste, Jean Berton a écrit les livres cynégétiques suivants :
- 1994 : « Le grand livre des armes de chasse »
- 1998 : « L'encyclopédie de poche du chasseur de petit gibier »
- 2000 : « Si on ne chassait plus »
- 2004 : « La chasse et ses techniques »
- 2008 : « Grandes chasses »
- 2009 : « La chasse de papa »

Instigateur des salons de la chasse en Haute-Marne :
Précurseur des manifestations cynégétiques en Haute-Marne et principal organisateur de ces événements avec sa famille, ses amis et collaborateurs de tout poil, Jean Berton a commencé en organisant le premier salon de la chasse à Arc-en-Barrois. Ce qui devait être une petite fête de la chasse locale se révéla être un énorme succès en attirant des milliers de spectateurs, débordant vite la modeste équipe d’organisateurs de l’époque. Les fondations d’une grande manifestation cynégétique étaient lancées en Haute-Marne et se sont ensuite fortifiées en passant par Champcourt, puis Chaumont. Cette manifestation fut finalement reprise par l'association Déclic 52 pour s’installer sous sa forme actuelle dans le parc sur la commune de Chateauvillain, son village de résidence et de cœur, proche de ces belles forêts qu’il aimait tant, dont le nom résonne désormais aussi fort que les Rambouillet, Chambord ou Chantilly!
Son département, la Haute-Marne
Ecrivain et auteur de nombreux livres sur la Haute-Marne :Ecrivain, photographe, éditeur, Jean Berton a publié de nombreux livres sur la Haute-Marne en étroite collaboration avec son fils, assurant la commercialisation et la distribution de ses ouvrages dans tous les commerces du département, et surtout les plus reculés !
- 2002 : « 101 figures haut-marnaises » http://101figures.free.fr
- 2003 : « Sorties haut-marnaises » : http://sortieshm.free.fr
- 2003 : « Tables haut-marnaises » : http://tables.hautmarnaises.free.fr
- 2004 : « Haute-Marne à cœur » : Hors-série spécial Haute-Marne
- 2006 : « Formidames haut-marnaises » : http://formidames52.free.fr
Participations dans d’autres livres sur la Haute-Marne et son terroir :
Jean Berton a également participé à la rédaction d’autres livres sur la Haute-Marne avec ses fidèles amis collaborant avec tous les éditeurs et imprimeurs locaux (Les Editions Guéniot, Les Editions Crépin Leblond, Le Journal de la Haute-Marne).
- 1995 : « La cuisine du gibier » Par Jean Berton, Jean Genevois, François Jehlé
- 1998 : « À la découverte des villes et villages de Haute-Marne », par Martine Guyot, illustrations de Jean Berton
- 2001 : « Haute-Marne, l'encyclopédie » par Jean Berton et Martine Guyot
- 2004 : « La bonne cuisine du gibier » par Jean Berton, Jean Genevois, François Jehlé
Son dernier hommage
Ce site internet ( http://jean-berton.blogspot.fr ) a été créé en son hommage pour permettre à sa famille, ses amis et collaborateurs et à tout ceux qui l'ont connu de faire vivre sa mémoire. Ses enfants vont désormais se consacrer à la préservation de son patrimoine familial, la ferme de ses aïeux qu’ils rénovent de manière respectueuse de l’environnement sous la forme d’un projet de nature « éco-gîte », comme il lui tenait tant à cœur...Bonne chasse éternelle là où tu es !
En espérant ne pas avoir fait de fautes d’orthographe, toi qui détestait tellement ça !
Amis chasseurs, sachez qu’il faut des écologistes ! Et amis écologistes, sachez qu’il faut des chasseurs !
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